Les mendiants, dans le métro ou dans la rue.
Leur regard qu'on ne voit pas.
Leurs yeux baissés.
Ma honte.
De ne rien pouvoir faire.
Que faire.
Je ne peux que les croiser avec une honte ravalée, et le sentiment d'inutilité de cette honte bête.
Je ne comprends pas que ceux qui ont tout ne consacre pas une petite partie de leur temps et de leur argent à ceux qui n'ont rien.
Naïve.
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